Anahi, le divorce de mon palais ou une nouvelle direction à revoir.
Anahi, déjà une décennie d'aventure gustative, mais là c'est le divorce voir la grève. Après l'épisode de la Jeune Rue, la décoration par Maud Bury, la fermeture, la reprise. En 3 ans, l'endroit a changé, trop changé.
Inteliggencia du haut marais accepté sinon vous serez refoulé sur le coté. Attention la nouvelle version est très tendance Mode, exit les portraits des patronnes dans la salles, le doré, les jambons...
Une salle de moins, donc nouvel agencement, salle petite, angoissante et éprouvante pour les nerfs. Coller/serrer, peu d'intimité. Visiblement, malgré plusieurs jours de réservations, les VIP reçoivent un traitement luxe sauf les clients anonymes et fidèles.
Équipes jeunes, fringants et très "lookés", parfaitement adaptés à la clientèle foodista et célèbre.
Mis dans le froid avec quelqu'un de 1m87, difficile de rester devant l'entrée sur 1m et des voisins assez curieux même du fond de la salle. Dommage, le retour au pays gaucho n'a pas eu lieu. Nous sommes restés au comptoir d'embarquement, sans menu et avons fini comme Messi après la coupe du monde, sur la faim...